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ce qu'on voit

L'apprentissage - disons, l'aboutement du Canon avec mon corps, obtus donc - est toujours difficile. Je ne sais pas

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De vagues sensations, moins de ce qu'il y a à voir par ces photos obtuses, que du côté de ce qui gets me excited dans certaines directions de la photo contemporaine. Ce n'est pas rien, et inattendu ; bon pour tel. Photographier pour voir la photo des autres, la photo de maintenant.

fil

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tout passant

J'adore ça, ces fautes photographiques. A peine registering as such, tellement du populaire (ou : les choses qui font aigrir le coin de la bouche quand on voit des photos, snaps, avec certaines "erreurs", ou marques d'une sorte de "mauvais goût" ou inculture - qui est justement déjà une culture. On sait les lire. Pour certaines, des automates de développement savaient les identifier, les marquer d'un autocollant, pour indiquer? Pour quel channel de message culturel?). On peut y aller, et se laisser être devant. Il se passe quelque chose, vague comme un rien du tout, un infra, de culturel. Que des formes se prennent en grappes illettrées, mal venues, qui désarticulent un Vraisemblable de ce qui peut être une image - des visages en particulier (sensible culturel !), ou autres zones de corps-personne qui ont pour tâche de se former en identité, pris dans des indignités délicates.

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just now

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gens de photo

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agrafe

Clip.

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out

Il y a des populismes de la photo (on a dit "art moyen" mais c'est autre chose ; on a dit "humanisme", qui reste, comme moment - précieux, ayant enseigné beaucoup - dans l'histoire de la photo).

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happening, making

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work

person

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bloc

Passion - des assemblages, arrangements, formages, infime mais en-plein du social. Blocs, plutôt que clics.
(Un très ancien bouquet de jambes de femmes à un mariage. Mariage, rue : temps photographiques.)