vendredi 30 avril 2010

Comment

Peut-être c'est simplement depuis avoir franchi le seuil de la CSP que je peux trouver cette sensation : que j'y suis déjà (avec les marginalités minimes que je parcours familièrement, et les connexions possibles, les oxydations possibles). Que c'est une histoire de : comment j'y suis. Voir ça, le fouiller, "ruminate" (Karen Marshall).

Comment j'y suis

Depardon, l'entretien dans lequel il commente Reporters, m'indique beaucoup. Prolongement de Errance ( : qu'est-ce que je fous là). Sur le plan séquence, il insiste beaucoup ; comme il permet le son, qui est l'apport de la caméra sur la seule photgraphie. Le ne jamais couper, le aller jusqu'au bout. Et question de savoir où se mettre, les différences entre appareil et caméra dans la façon de s'insérer dans une situation, soit un rapport. "Jeu de jambes", reculer, la marche arrière, le --- (sais plus, une expression pour indiquer le portage de la caméra au côté - il a des mots pour, formations d'une pratique). Placement du corps, positionnement, intelligence physique de la situation, de l'entrée, de comment on y est.
Dit : "même à une mauvaise place. Il n'y a pas de mauvaise place en fait."
Se glisse dans le rapport : c'est entre les "reporters" et, qu'il se glisse. Si fiche dans le rapport de regard. Et s'y tient ; soutient (même "jusqu'au bout" que cette séquence de La Vie moderne, fils du fermier sur le tracteur, dans le champ). Très très fin. Journalistes, presse / personnages publics, Chirac "ça sent rudement bon chez vous", Richard Gere à gifler. Et au côté des intermédiaires, brokers des rues (portiers d'hôtel), brokers de la petite circulation sociale (agents de police), agents de l'agence (Gamma).

Un glissement de terrain important, à la suite de ça qui continue à bouleverser doucement : que je n'ai pas à chercher comme y être, mais à savoir comment j'y suis. (Ironie, honte, comique, malaise, compris. Leur valeur transformée, dénarcissisée.) J'espère que ça va aider avec des choses qui se présentent encore, mal posées donc, comme des choix à faire (quel appareil?, etc.).

Ce vide que je trouve devant me montre chaque fois que je pose la mauvaise question, que je cherche au lieu de ---? (what, precisely?). Je reconnais la rationalisation, parlons de voyons autre chose.

The Visitor

"The Visitor" is nice - the shift space which that grammatical distribution allows: who is the visitor, among the 4 characters (The Visitor, Tom MacCarthy, 2008)? Which way the visit, among this delicate criss-cross agencement? The singular is nice. One shared visit, a rhizomatic visit is what happens. Its impossibility and its unlikely possibility.
Richard Jenkins.

lundi 26 avril 2010

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Bien sûr un premier go aura été de prendre par l'identité, par la photo comme indécrottable de l'identité, pratique biopolitique. Ici bien. Passés à la colle, pastissés sur les murs (autour des cartels émaillés de la ville : Défense d'afficher). Photocopiés (- Martin Parr, mode d'exposition).

Prendre par le portrait a ce sens aussi. La vie, politique, de ça. Entrer, rentrer dans. Pas un plan d'indiscrétion mais de l'intime du politique. Du près. Là où.
Qu'est-ce que ça va être, "portrait", par là?

photography involved


CSP








dimanche 25 avril 2010

Lieux photographiques

Passer aussi par la permanence PS qui a son échoppe dans la rue Duhesmes.
Aussi : le bureau de l'association d'accueil administratif des étrangers, rue J. Dijon?
Rue Baudelique : le Ministère de l'abrogation du Ministère de l'immigration / identité nationale

Est-ce que ça se passe comme ça?
Ou l'erreur de la continuité essayée ici, public-peuple.

Lieux photographiques

Aussi, les forums sociaux - ces assemblées contingentes, plus ou moins prolongées dans des structures légères et mobiles, précaires ou utopiques (fantasmées, aussi : fantomatiques, jusqu'à délirantes), associations, collectifs, agencements. Leurs lieux, leur institution, leurs rendez-vous, les peuples précaires qu'elles font. Comme l'expérience de photographier dans les manifs. Les questions étonnantes que ça pose. Quoi? C'est où? Se faufiler entre des folklores. Trouver des choses comme : les moments "vides", de corps traînants, et transitions suspendues d'une longueur presque insupportable - configurations de corps ensemble, qui attendent, parlent, attendent, font la politique de la rue, pratiquement toujours dérisoire et aussi politique. Ces étonnements ; les évidences auxquelles apprendre à se rendre : ici.
Qui me secouent comme une chiffe, entre les adhésions émues vertigineusement faciles et les fuites !, les paniques des non-lieux, du il-n'y-a-donc-rien, reste à courir très vite très longtemps pour dépenser l'affolement.
Voir le Festival des résistances et des alternatives à Paris, à venir en mai. Comment entrer là : me mettre à cette épreuve, cette question simple. FRAP ; Démosphère.




























































[Ce que, aussi, donne le Boulevard, Ornano.]

Nettement plus dur encore : la manifestation Jeanne d'Arc du FN le 1er mai. Chew on that.

samedi 24 avril 2010

Lieux du photographique

- les Portes de Paris : La Chapelle, St Ouen, Clignancourt. La Gare du Nord. (La difficulté des lumières. Peut-être il faut? Le frayage paraît dur, pousser ces masses devant l'objectif) Château-Rouge? ça c'est pour la rue : lieu du politique, d'accord, noté. [J'avais déjà commencé par les nouvelles lignes de tramway : T1, qui m'avait ramenée à St Denis. Mairie de Bobigny. Photographie à travers les vitres polarisées du tram. L'autre ligne est à faire aussi.]
- les coulisses du culturel, interfaces de l'échange, membranes d'osmose et diffraction. Les galeries, (plus que les musées?), les lieux publics. La mairie? La Place de la mairie elle-même ouverte, bien sûr.

La question de la lumière est une difficulté : m'amène à un croisement de contradiction, un angle mort. Entre le plastique (ça pourrait être ça? mais ce réduit déjà) et l'entrée. Le plastique et l'humain, pour dire par Beckett. Il y a à descendre dans ce coinçage, qui doit être autre chose que çà. La lumière : signifiante de toute façon. Mais : drame, que quelque chose existe, ou non. L'imprimer, le passer au révélateur. Quelque chose existe, et société existe : la difficulté de ce drame. La question qui fait membrane ici, c'est celle de moi. Où je situe je, et ma petite personne, puisqu'il faut faire avec aussi, le traîner, impedimenta.

Pour les coulisses du culturel : il faudrait le temps des vernissages? (ce qui permettrait de remettre, shelve, au plan du projet, chouette). Ou les espaces plus vidés des galeries un jour de visite. Rentrer dans le rapport avec un galeriste? Portrait? J'ai à demander beaucoup de patience, de mon intrusion : le long temps et les retours qu'il faudra pour que je cherche comment photographier. Plus l'indécence de me donner à voir, éventuellement, dans l'état de jouissance où photographier me met. Le sourire que je sens gashed across mon museau tout imprimé de classe sociale, qui est aussi l'inscription coupable et ingratiating de c'est beau, mais c'est parce que c'est beau, parce que j'aime, tout va bien, tout est beau, je vous aime aimez-moi voulez-vous. Je rencontre alors des expressions de perplexité qui tendent vers le dégoût. Certainement vers le : refuser net et simple de rentrer dans le jeu où ce sourire invite. Et pour bonne cause.
Etonnée, voilà, des décences des photographes au travail. Des dignités qui se refont, forcément pour entrer dans la circulation culturelle, ces médiations multiples, quand la boucle arrive jusqu'à moi qui regarde un photographe photographié, devenu légitimé photographe.

MvG : d'où

D'où quoi? Les envies d'entrée ravivées, surtout. Trans photographique. (Love it when invited it comes, in all simplicity.) Leur possible déplié.
. Envie d'entrer dans les travaux de Rouch, de Depardon - il faudra aller entrer dans les lieux médiathèque, ces lieux culturels un peu enfouis. Ces héros historiques de l'entrée. Le rapport entre le photographique et l'ethnologie pratique, entreprise comme telle.
. Envie d'approcher : par le journalisme? Contacts? Amélie.
. Boulevard : écrire le texte d'annonce [ce sera le même effort que pour women x women, passer dans le bd, passer au Soleil de Tunis pour commencer. [ça me fait rire que je pense à ce que je dois me mettre sur le dos en prévision de ces rencontres. J'essaie d'effacer, de devenir à la fois transparente et invisible par ordinaire. Ce sera bien toujours moi ; et c'est ce que je veux, mais ces préparatifs de moi, "présentations de soi"]
. réfléchir aux lieux : il y a cet acte au ras du politique.
. autoportrait : il faut simplement y aller. Puisque (mais c'est vertigineux, constamment asymptotique au possible) il s'agit justement de cette non-photographie, ce râcler contre un plan qui est l'épiderme du photographique. Les immenses marges de ce lieu. Les étonnements, radicaux ! A la fois entièrement impossible, et déjà là tout autour je ne suis que là --photographiquement that is.

von Graffenried

Ecrire la photo. Ce qui se passe dans la vue, la découverte d'un travail. Les étonnements, les confirmations, les lignes perspectives dégagées.
Le fait de la MEP, et des modes de publication : les livres, le photojournalisme, Match, revues majoritaires allemandes, suisses (, américaines ?). Les sujets majeurs, d'entrée majeure : la guerre civile en Algérie, et publication type Match, et type grand livre de photo. Le premier chantier : le Palais de la confédération suisse, première publication aussi (c'est taper haut ; le minorer par des moyens de facilité : les députés dans l'intimité de leur corps-représentatif: le doigt dans le nez, en bâillement, en dispositions de quinconce qui les met en patterns désindividualisés, comique facile; photographiés en grappe avec entre leurs sièges un photographe chevelu avec un zoom pointé en oblique, vers une autre scène homothétique, décentralisante donc).
"Outing" comme "donner à voir ce que l'on ne voit pas" - effet de blurb [ce qui est gardé comme résumé de résumé de procédé, dans le dépliant de visite], le tenir à ça. Faintly boring. Le plus spécifique serait dans deux dispositifs : la prise de vue à partir du "en cachette" (qui traduit la formule? - je ne me souviens même plus en quelle langue il parle lui, interviewé), appareil sur le ventre, pendant l'Algérie - puis photos montrées, après-coup, aux individus photographiés, pour un retour historique. Et 2: le panoramique (il travaille encore avec cet argentique au format décalé - "japonais, vieil appareil, adopté 1991"), que la scénographie de la MEP souligne en marquant au sol l'emplacement de deux pieds, pour que le regard vienne se ficher (se faire ficher) au coeur de la photo, de la vue enveloppante, dans (et non out).
"Parce que la situation est difficile d'accès, que l'on oublie de la voir ou que, tout simplement, on refuse de la regarder". On pourrait s'irriter de ces plans de discours idiots, adressés par personne à personne, milieu d'usure et de confusion. On peut aussi le prendre à l'énonciatif : comme ce milieu du culturel, boîte d'embrayage, c'est comme ça que ça passe. (Quoique von Graffenried fasse attention à ses modes de montre : exposition "des [socialement, de quartier] refusés" aux toits du Caire, panoramiques sur tentures (ici suspendues sur des cordes à linge ; entrée dans le système social des toits), négociations rencontres de longue date avec les photographiés, etc.) Ce n'est pas la même chose, dans une structure de communication, les accès du photographe et les circuits du voir idéologiques (ceci en lisant Althusser les matins) / artistiques : photographe / regards que la photographie va interroger. Mais je prends, c'est à prendre : la photographie qui m'intéresse, celle qui prend les deux en un même mouvement. Passe passe, énonciateur énonciation transénonciation. C'est Arbus qui m'a ouvert ça : le portrait, toujours la question de : celui de qui? De la transformation de qui? Portraiteur portraituré portraitee. Ce continu dans une photo qui est une transformation. La même question, puisqu'il y a à "parlons d'autre chose" - Beckett sur les van Velde : ni des "moyens plastiques" ni les plots des positions de sujets dans la circulation, mais "parlons de l'humain". Qui passe et est tout dans le passage, ce qui court, furet.

Il y a d'autres drames que ceux qui sont fixés ici. Ceux qui passent, qui sont fluets dans les épaisseurs du temps du juste maintenant, juste ce temps antidramatique. Mais on prendra.

"MvG ouvre des sociétés fermées et pose sur les gens et les lieux un regard à la fois brut et provocateur." Les sociétés toujours fermées, entrer, entrer. Poser un regard, intéressant pour son "ce n'est pas ça" (ordinaire, ça barbe un peu comme le Vraisemblable d'une époque qui traîne) : ce qui se pose est un rapport, la question d'un rapport, et ses étonnements. Ces what happens. Après on cherche. What happens quand MvG photographie les sacrifices de l'Aïd à Evry : instant infiniment émouvant, voir son visage où le sourire est encore tracé quand un homme portant une carcasse bien ritualisée (sculptée, enveloppée dans un plastique prévu, posée sur l'épaule d'une façon étudiée par une pratique) lui tend un menton dur, des mots agressifs, il pose la question normale : qu'est-ce que tu fous là? Comment tu entres. (Qu'est-ce que tu fous là, tout autre chose comme violence, comme socialité, que "qu'est-ce que je fous là", Depardon).
Comment MvG entre, de son corps : un appareil qui fait photographier de près, rentrant dans les groupes, rentrant dans les visages, dans les situations.

Séries exposées : "Nu au Paradis" (1988-97), "Soudan" (1995), " Guerre sans image" [Algérie, 1991-2002], "CocaineLove" (2003-2005), "Our Town - an Inside look at the United States Today" (2006), "Inside Cairo" (2007 - tiens), "London Calling" (2010 - nouveau minaret d'argent à Brick Lane, à quelques mois après le référendum suisse sur les minarets).
. La colonie de nudistes : Arbus a passé d'abord dans ce rapport, mais il reste simple comme une base : dénuder, entrer dans ce rapport nécessaire explicité photographique : le photographe aussi nu que les photographiés, qui multiplient leur nudité par son exposition publique (photographique comme publication, évidemment. D'où pas une question de regard).
. Inside Cairo : les photos comme entrée ; comme taille d'un espace alternatif (les toits pour la montre ; on voit des footage d'archive sur les gens qui passent voir, passent entre les bâches étentues). L'effet alternatif, introductif, vivisective, explicitement politiquement insupportable (récit des difficultés à faire imprimer les bâches, "autocensure") de ces vues enveloppantes, scènes de rue transformées par l'entrée. Un révélateur d'air social. Avec un effet d'entrée, de pénétration, [viol, mémoire du colonial], qui est d'une autre nature que le journalisme, le documentaire, leur lissé culturel.
. CocaineLove : le rapport soutenu aux photographiés. Une entrée réelle, qui prend les corps et les vies. Sur la drogue c'est souvent ; c'est souvent possible par les socialités douloureuses de la drogue. Ou des sexualités desperate - voir Goldin, Larry Clark (Tulsa, 1063-1971). Des scènes sociales identifiées.
. United States : aussi, une entrée classique. Qui reste champ vaste ouvert, à vivre.
. London Calling : un peu plus tiré, dispositif de l'engagement, comme une revanche artistique. Mais reste travail de photo. Le noir et blanc ici efficace : les sourires des jeunes hommes aux visages ouverts, dans le crade du N&B journalistique, en mémoire directe de "l'islamiste" de Guerre sans image". Le N&B comme ici, qui déjoue celui de l'autre : le photojournalisme, le regard de rejet, le regard comme séparation.

Format : "Ces grands tirages visent à objectiver le monde, sans aucune recherche de dramatisation. Ils plongent le spectateur au coeur de l'événement". [La photo, espace d'aprivoisement pour moi des choses que les automatismes de protection ont l'habitude de dismiss : laisser de petites choses passer, laisser goutte à goutte des choses impossibles, abject, entrer.] Savoir qu'on écrit pour. Pour des choses spécifiques, dans des recherches tâtonnantes. "Objectiver" tend vers quelque chose de MvG : le mot qu'il met (qu'on met - qui écrit, bon?) sur ce qu'il y a à comprendre de sa pratique. Couper dans les discours, dans la masse du Vraisemblable, faire une énonciation. D'accord. Contre, précisément (touche, précisément) : "dramatisation". Ne pas confondre avec la dramatisation par quoi pourrait aussi appeler son dispositif de viewing. Chercher de la peau. A y être avec sa peau (celle qu'on pourrait y laisser, that is).

jeudi 22 avril 2010

Not Outing














Et le comique de l'autoportrait impossible. Toujours sur le bout du désir, du nécessaire ; et le comique de ne pas, qui est déjà le même mouvement que le fait que ça ne ressemble à rien ; I look like nothing. It's never a photo. (Well, stranger still, has been; the once.)
C'est ce que forme régulièrement l'expérience d'aller voir de la photo : l'envie d'y être, le fait d'y être, d'y être emportée invitée mobilisée, lancée. C'est sous cette forme : d'une exposition, d'un y mettre mon corps, d'un commencer par ici il faut il n'y a que ce point de départ.
(Je pense à ces jeunes femmes intrépides, américaines blanches bien nées toutes propres et minces qui envoient leur corps se dégingander dans les performances des sixties : féministes, artistes, activistes de tous poils : archivées en vidéos à elles @ centre pompidou.)

Contrairement à Michael von Graffenried, qui me remet dans le trajet hier (nouvel accrochage MEP), je ne dis pas "outing" mais "entrer" - bien que le contraire ne soit que de chemins différemment empruntés pour quelque chose qui se ressemble. Ou simplement qui me renvoie à quelque chose qui ressemble, (me), qui me revient.
La différence première est que je n'ai rien à montrer : je n'attends pas que quelqu'un se trouve au bout de la chaîne, qui verrait, qui voudrait voir. (Que je sois un point désiré par un regard.) Je n'attends jamais un monde, un public, a tribe. Je ne m'attends pas à une société, ma. Mais le désert. Point de fragilité. La société qui me semble accessible est seulement celle que j'ai à chercher, à arracher, à passer par un paiement infini, pratiquement impossible, insupportable : par une exposition, etc.

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face


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drames de Sainte Isaure


we like spring


mercredi 21 avril 2010

L'entrée

C'est la disposition d'un drame personnel, fin comme une feuille de papier. Pourtant l'énergie de ce drama. Y passent des ouragans qui ressemblent à des forces sociales, monstres, colosses. On y est tout secoué, ébaubi de s'y trouver, -- alors des autres? -- alors c'est comme ça?

Ce serait : le désir insistant, bélier et buté, d'une entrée ; et savoir que ces entrées sont d'avance frustrées, impossibles, sans commune mesure, en toute dimension que ce soit, à l'attente. L'attente en paraît tous les jours, évidemment, plus fausse - illusionnée, pleine de mythes rassurants et naïfs, de superstitions et d'ignorance, qui peuvent être chers et sympathiques comme des erreurs des récits longtemps compagnons. Comique, comme quand on se croit quelque chose. Se croit auteur (Rimbaud).
Reste ce drame, qu'on peut pratiquer comme tel. D'ici.
Tout ça à récrire : c'est pas ça. Garder seulement : l'entrée.

Aussi ce que fait un angliciste de ça.

mardi 20 avril 2010

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lundi 19 avril 2010

samedi 17 avril 2010

mercredi 14 avril 2010

vendredi 2 avril 2010