mardi 19 octobre 2010

Ce qui vient

Beaucoup par Depardon, lecture. Malheureusement rendu en événement parisien : l'expo à la BNF inaccessible dimanche dernier.
Mais en travaillant pour l'expo de novembre, quelques clarifications, quelques déterminations :

- que ce sont des pages. Pendant tout le temps, si long suspendu, uneventful, not knowing how to look for the derterminations, cette question irrésolue du format et du support pour accrochage. Quel objet. Comment ça se décide, c'est ce que je suis, à la traîne de, plutôt que je ne le projette. Ce qui en sort quand le temps freudien arrête les décision : que ce sont des pages. (Comment ça glisse vers une détermination : comment le sens, très précaire et flighty, vient s'agréger, s'aimanter, à une chose, à des choses, vaguement. Il faut le laisser vaguer, puisque.) J'attends encore le moment où j'en serai mieux sûre : que c'était juste, que c'était une erreur. Je le laisse se reporter à après le temps d'exposition : cette instance, dont je sais quoi attendre comme découvertes, surprises. Que ce sont des pages : ça s'agrège du côté : le livre, le cahier, le journal, la note.

- que l'image est suspendue : numérique. Sans accroche matérielle. Elle peut flotter de support en support, petite et mobile et sans précieux, que son passage, tout souffle. Phut. Elle est déjà ailleurs. On peut l'imprimer sur un bout de papier. Note. J'aime la liberté que donne cette exposition de ne pas avoir à prévoir(prévenir, faire signifier ; c'est forcer la photo, signaler) des ventes, mais seulement des vues.

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