Et Carlos Reygadas,
Lumière silencieuse.
La photographie au cinéma. Le photographique très souligné, très actif, dans le projet artistique du film. Question de lenteur, de fonction du cadrage (les scènes sont disposées puis les acteurs viennent se placer dedans, avec soin. Théâtralisation de la scène, du et des "personnage/s").
Le "paysage", son histoire photographique (
américaine - ici le Mexique) mis en fonction dans la filmique du film. Comme
temps.
Fonction, nécessairement corrélée, de la bande son.
Un film, que le drame (un amour, un arc narratif très fin qui prend ce fil anthropologique-moderne)
sert. L'amour et le récit comme ingrédients et variations du film, plutôt que sa motivation.
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