mercredi 25 novembre 2009

-


-















Anon., somehow.

-


-


rue peuple je regarde


-


mardi 24 novembre 2009

lundi 23 novembre 2009

-















Point de crise.

mardi 17 novembre 2009

jeudi 12 novembre 2009

dimanche 8 novembre 2009

-















-


-















-


-


-


-


-


-


" the jardin publique "


zone photographique

" doivent donc être adroitement ménagées de façon à présenter le plus de surface transitionnelle possible " - Emerson, et par C.R.

lundi 2 novembre 2009

zones sociales de la photographie

La zone photographique où on peut venir se placer, chaque fois que l'occasion s'ouvre, dans les lieux sociaux de la photographie (dans les prises que font les gens, touristes à Paris, groupes d'amis ou de famille en dimanche, etc. : photographier ce qu'ils photographient, photographier les photographes, retrouver des clichés dans le viseur, se laisser photographier puisque -) : je la connais déjà. Je la sais ouverte, et j'aime m'y reconnaître chaque fois que.
D'autres, plus serrées, sont difficiles à infiltrer : il faut aligner son corps dans des socialités étrangères, fermées : anthropologue, ethnologue, journaliste, artiste et tous autres statuts interlopes... Ce qui inclut, assez facilement : toucher les limites, les lignes, de ces espaces sociaux. En connaître, en éprouver, les impossibles et les zones de friction ; les froncements de sourcils, les hostilités, les incompréhensions qui traversent immédiatement tout glacis d'urbanité et casse les visages. "Qu'est-ce que je fous là ?" Mais aussi l'intérêt jusqu'à pervers d'y ficher mon corps. L'expérience du malaise ("it's only pain") permettant des découvertes, des choses à comprendre ; plans du monde, des gens, à me passer par le corps, et à libérer dans une publication, photographie. Performance. (D'où, j'attends de lire M'as-tu vue ?, Sophie Calle). Déchirer des cercles de papier d'un Vraisemblable social.
Se mettre là. Hors de tout programme, d'ailleurs. Se trouver là, avec étonnement, et en écarquillant.